Nicolas Fensch, qui a reconnu avoir frappé avec une barre métallique, «regrette profondément». «S'il y avait eu un collègue à l'arrière de la voiture, il serait mort». Les mots d'Allison Barthélemy ont résonné mercredi, en son absence, devant la 14e chambre correctionnelle qui juge les auteurs présumés de l'attaque de la voiture de police où cette gardienne de la paix se trouvait le 18 mai 2016. Ce jour-là, elle «a eu extrêmement peur» et «a cru mourir». Le contraste est total entre sa voix calme, sa façon presque ...
Source: Le Figaro September 20, 2017 18:45 UTC